Les zebres, parait-il, ne peuvent se diagnostiquer

En fait, c'est l'amorce de la démarche qui se fait par besoin de communiquer, mais tout ça découle d'abord d'un choc, des émotions fortes. Et ce sont ces états d’âmes qui à jamais nous marquent. Ce choc nous laisse entrevoir un nouveau langage. Il nous permettra, en tant qu'artistes, de percevoir le potentiel d'émotions d'une lumière, d'une courbe, d’un cadre, bref, de saisir la beauté, perçue, dès le premier regard. De la traduire, ou bien la créer. Finalement, la signature photographique des un des autres, ne résiderait-elle pas simplement dans cette traduction de la beauté, propre à chacun, chacune ?

Né à Pertuis en 1996, Clément commence la photographie dès son plus jeune âge. À 19 ans, il intègre l'école de photographie : l’ETPA de Toulouse où il découvre la photographie argentique qu'il n’a depuis jamais quittée. Après une année sabbatique durant laquelle il a aiguisé son écriture photographique,il sortira diplômé en 2020 avec une mention du jury. Il s’installe alors en région parisienne et commence son activité d’artiste photographe.

Décomposition anatomique du vol d'un oiseau

450 €

D'en Haut La Ville Est Belle En Bas

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La belle échapée

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L'ennui des cîmes

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Les Eaux-Forets

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Les fleurs que tu m'inspires

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Les vaches se couchent avant que la pluie ne t

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Les zebres, parait-il, ne peuvent se diagnostiquer

450 €

Paysage en fesses

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Vague des profondeurs

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