Javier Pérez mène une réflexion autour de la condition humaine, ses contrastes et ses contradictions, le menant à une représentation du corps souvent ambiguë et déroutante. Ses œuvres allient beauté et étrangeté, fragilité et violence dans un dessin précis, voire précieux, utilisant parfois des matières nobles et délicates telles que l’or ou le parchemin. Organes et racines révèlent une beauté intérieure où la frontière entre le vivant et le mort devient infime.