Bring me back

Une tête de cheval du Parthénon grecque, chargée sur un double-decker londonien, retournant à son pays d’origine dans les Balkans. C’est une construction sur l’impossible soudure du vivant et de l’objet, de ce qui est créé par la nature et de ce qui est généré par la technologie. Sous le poids des couches de l’Histoire : c’est cette mémoire comme matériaux. Le cheval du Parthénon, acheté pour des clopinettes par ceux à qui il n’appartenait pas, dans une démarche expansionniste, en réalité volé afin d’être « préservé ».

Choisi en 2007 à la 52e Biennale de Venise pour représenter la Serbie lors de l’inauguration de son Pavillon en tant que pays indépendant, Mrdjan Bajić fait partie de ces artistes dont le travail et l’identité sont collés à l’histoire de son pays.

Monument aux monuments qui tombent

€3,500

Regarde-moi avec les yeux d'Apollon

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Globulus

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Regarde-moi avec les yeux d'Apollon, 2022, 76 x 48

L'homme qui porte une étoile