Si dans sa vie professionnelle le travail de Jacques Sebag consiste pour une large part à écrire, sa photographie entend échapper aux projets pour être d'abord appelée par les hasards, ceux de la lumière naturelle ou de l'instant décisif. Il s'intéresse à l'élusif, au "je ne sais quoi ou presque rien", à ce qui nous échappe et nous saisit en même temps.