Photographe française, Cloé Harent, née en 1998, intègre l’ETPA en 2017. En 2018, elle participe au Campus International des Promenades photo- graphiques ce qui lui ouvre des perspectives de développement de son travail d’auteur via des résidences.

C’est fin 2019 après l’obtention de son diplôme (mention Prix Spécial du jury) qu’elle intègre la résidence 1+2 Factory et expose au quai des arts de Cugnaux.

Lauréate de la mission photographique de l’Institut Pyrénéen de la Photographie en 2021, elle documente la problématique de l’eau sur le territoire des Pyrénées Orientales.

Depuis 2018, Cloé Harent travaille sur une série photographique, «Le lien de la terre», pour laquelle elle a parcouru la France afin de documenter le déploiement de pratiques paysannes attachées au respect du monde vivant.

Ce travail, alors en construction, est exposé pour la première fois au Festival Fémina de Fontainebleau en 2020, remporte un an plus tard le Prix ISEM jeune photographe et donne lieu à des interviews via ARTE et France Culture.

Elle achève cette série en 2023 dans le cadre du mentorat de l’Agence VU’ et du Fonds Regnier pour la création par une exposition à la Galerie VU.’

En 2024, sa série photographique est présentée lors d’une exposition au Festival «Le champs des Impossibles», projetée au Festival des Boutographies, et publiée dans le portfolio de la revue EPIC.

Parallèlement, elle rejoint la résidence Tremplin Jeunes Talents du Festival Planches Contact à Deauville et dont elle gagnera le Prix Tremplin avec sa nouvelle série intitulée «Bruit rose», offrant une vision poétique de la biodiversité marine.