Etienne Quesnay est né en 1995 à Dieppe. Autodidacte, c'est désormais à Paris qu'il développe son oeuvre. Son goût pour l'art s'exprime dès l'enfance et, déjà, naît l'obsession pour les visages ou des personnages faits de douceur.
Enfant de sa génération, pas destiné à l'apprentissage d'une vie d'artiste, c'est en parrallèle de ses études et de son entrée à Paris qu'il tire profit d'Instagram pour se faire connaître davantage. S'en suit un contenu avec le média MAD qui le révèle puis les premières expo en 2019, Konbini en 2020 avant d'autres solo-show... jusqu'à aujourd'hui, où la quête d'un art conceptuel mais lisible et sans artifices se mêle à des influences toujours plus prononcées venues de la photographie, de l'asie, des impressionnistes et - bien sûr - de la vie et du combat qu'on doit mener pour vivre son rêve.
En filigranne, la peinture d'Etienne Quesnay raconte la poésie des risques à prendre, des étoiles à décrocher, des lunes à atteindre. La mélancholie d'après l'échec ou le grand sursaut d'avant la victoire. Tout y est écrit, symbolisé par l'essentiel.
Quand son art n'est pas figuratif, c'est un visage simple, signature qui prends le relais : celui qu'il s'est tatoué et qui fait partie de lui, de son oeuvre, pour toujours, jusqu'à la fin.