La trame et le sacré :
A la base du travail d’Eli Jimenez Le Parc, il y a la trame. Celle qu’elle tisse en croisant et recroisant des fils pour construire ses volumes géométriques, souvent inspirés des mandalas, attrapes rêves, et autres talismans…. Celle qu’elle explore aussi à travers son travail photographique pour “dessiner” le fond de sa pensée et de son imaginaire.
Et au-delà de la trame, il y a le sacré…Graphiste-designer de formation, cette artiste panaméenne nous invite régulièrement à des expériences physiques et sensorielles interactives. En effet, ses sculptures sont les métaphores des liens Irréels, imaginés et structurant nos existences de manière artificielle, véritables cartographies intérieures, écritures sociales et politiques d’un visible qui la conduit vers l’invisible.